Taillées dans le cirque de Gaud, trois
vires, avancées de calcaires, permettent de s'aventurer à la manière des chèvres qui habitent les lieux, dans les falaises du méandre. La vire caprine ou vire des oliviers est la vire
intermédiaire.
Cet article aurait pu aussi s'intituler : "ce qui nous fait peur nous attire". Car je ne peux m’empêcher de rendre visite à ces vires, vertigineuses et non sans danger, où la glissade pourrait être fatale . Il faut dire qu'elle recèlent bien des trésors qui valent bien les battements de cœur et les tremblements de jambes ressentis alors.
Un aperçu depuis les hauteurs :
|
La vire supérieure, en bout la Grande Baume |
|
Une terrasse au dessus de la vire caprine, solarium à chèvres |
|
La vire caprine au niveau intermédiaire |
Allez c'est parti :
|
Le comité d'accueil au départ |
|
Une des aiguilles du cirque |
Les vieux oliviers encore présents, témoignage d'une culture ancienne sur cette vire aménagée .
|
Une autre aiguille |
|
Rapide de Figueras à la sortie du méandre de Gaud |
|
Au loin l'objectif convoité (Baume du Berger) |
Après les oliviers, d'anciens murets témoignent également de la présence des hommes ici. Ils ont voulu gagner la moindre surface exploitable pour pouvoir cultiver sur ce versant bien ensoleillé et abrité.
|
anciens murets |
|
La vire des oliviers et les murets depuis le Moure de la Tour |
Une lucarne dans la vire supérieure :
Arrivée sous la grande baume :
|
Arrivée sous la Grande Baume |
|
Lierre sur les falaises de la Grande Baume |
|
Le plafond de la grand Baume en haut à droite - la vire caprine au niveau des arbres |
|
Vue du Moure de la Tour : Route touristique, vire supérieure, vire caprine |
|
Baume du Berger qui porte bien son nom, vue du Moure de la Tour. Une chèvre me regarde de loin |
|
Falaises du cirque de Gaud vues de la Chataigneraie |
Arrivée en vue de la
Baume du Berger
Mais je n'irai pas plus loin...
|
Pourtant si près... |
Demi-tour
Au retour celle-ci est moins sauvage :
Ne soyez pas tristes, je reviendrai ! ;-)
Commentaires
Enregistrer un commentaire